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Carnet de notes > 01 décembre 2011
Tiens, j'ai remis la main sur un de mes premiers disques. Je ne suis pas de ceux qui prétendent avoir écouté du rock progressif dès le berceau ; des 45 tours de Dorothée, j'en ai déjà eu. Mais une des premières chansons dont j'ai été fan et que j'ai eu en vinyl, c'est celle-ci. Et aujourd'hui, un peu par hasard, c'est ce vinyl qui refait surface. Je ne suis pas un défenseur absolu du format vinyl, mais celui-ci est spécial. Le reprendre de sa pochette pas trop abîmée, entendre les craquements, ceux du disque et non pas de la vieille platine. L'ambiance est là, le son est loin d'être parfait : le disque a assez mal vieilli, à végéter une vingtaine d'années entre un Julien Clerc et un Tanita Tikaram.

A l'époque, passer à côté de Michael Jackson était plus que compliqué. Ce titre est quand même le septième single issu de Bad... J'aime toujours cette chanson, et la remettre me rappelle aussi les moments passés plus tard à tenter de faire danser Michael devant des portes pour les ouvrir, sur Master System... Je crois que j'ai toujours préféré de Michael Jackson ses chansons les plus dance/pop, et il faut croire que l'écoute intensive de Smooth Criminal aura été pour quelque chose. Alors juste comme ça, pour le souvenir, et pour tenter de l'imiter sans se péter les chevilles...


A propos du NazeJournal > 30 novembre 2011
Elle m'a dit "Y a plus les arrondis, ça fait plus adulte". J'ai compris "La version de la maturité". Bref, le NazeJournal s'offre un petit lifting. Pas une grande révolution, juste une remise au goût du jour. Depuis qu'il existe, le NazeJournal aura eu le temps de changer, de passer d'articles sur McGyver et les résultats du foot japonais à la version aujourd'hui, axée autour de la musique. Et puis, il était temps de créer une trame bien plus adaptée à la fréquence et au contenu des articles.

En d'autres termes, si je n'ai jamais eu envie d'arrêter, il faut bien reconnaître que les mises à jour sont tout sauf régulières. Et présenter le NazeJournal sous forme de webzine ultra-complet est juste inadapté. Il n'y a pas 15 billets à la semaine, pas de quoi laisser 10 articles récents à la une. La distinction entre les articles, bien plus longs à écrire, et les "brèves" est finalement très ténue pour les lecteurs, si bien que l'esprit blog, que j'ai longtemps ignoré, semble aujourd'hui le plus opportun.

J'ai regardé quelques blogs musicaux, tenté de voir ce qui pouvait me correspondre, et puis je me suis souvenu quand Kev me disait que cette colonne de droite était interminable, quand on me disait se paumer dans ce dédale de rubriques. Il était temps de simplifier tout ça. Tout n'est pas fini, il reste des rubriques pas très bien définies (les articles et les playlists, en gros), mais l'essentiel est là. Souvenez-vous des précédentes refontes pavées de bonnes intentions (ici ou ou là aussi ou là encore et surtout avec toute l'histoire et tout)... C'est a priori un bac à sable où je devrais m'amuser encore un moment...

Carnet de notes > 19 novembre 2011
Il y a là des débuts d'articles, des idées à mettre en place, à tester, des choses à faire, des envies, mais le problème, c'est qu'il n'y a ni le temps ni la force. Grosse fatigue depuis quelques jours. De celles qui ne donnent pas envie de faire grand chose, de celles qui font qu'aucun disque ne correspond vraiment à l'ambiance du moment.

Alors j'ai cherché quelques titres vers lesquels je me tournais pour faire le vide, pour me détendre, quand je n'avais pas encore mes disques repaires. Me sont revenus les morceaux que j'avais mis sur une clé-USB mp3 - c'était très à la mode à un moment - pour les écouter avant de dormir, devenus comme rituels pendant un moment. Parmi eux, dans ma mémoire, on y trouvait Blow, de Ghinzu.


Je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais réussi à partager mon goût pour Ghinzu avec d'autres. Pourtant, Blow, ouverture de l'album du même nom, étale sur près de neuf minutes une ambiance de plus en plus prenante, une atmosphère planante qui s'emballe... Longtemps, ce titre a été le parfait symbole de ma bande originale nocturne, tout comme l'album s'est longtemps invité dans mes oreilles. Un album qui a souffert d'être trop souvent réduit au single Do You Read Me, parasitant finalement l'ensemble des bons titres qui s'y trouvent.

Il y a des chansons, des albums, qui marquent clairement un moment de vie. Blow en fait partie et viendra toujours me rappeler qu'il fut un temps, j'avais moi aussi une clé-USB-lecteur MP3.

Carnet de notes > 15 novembre 2011
Au hasard de mes pérégrinations sur le net, je suis arrivé sur une liste d'albums où, au milieu de noms bien connus et appréciés, se nichait After Robots de BLK JKS. BLK JKS, Black Jacks pour ceux qui ont acheté des voyelles, est un groupe Sud-Africain à propos duquel il serait de bon ton d'oser une comparaison entre la pluri-éthnie du pays et la variété de la musique. Malheureusement je sens que c'est un peu casse-gueule comme idée.

Contentons-nous de profiter de cet album sorti en 2009 et qui a de nombreux atouts : des jeux de rythmes (à ce sens j'ai souvent fait le rapprochement avec l'album de Action Dead Mouse, notamment sur le titre Cursor), des chansons déstructurées, des parties de chant bien amenées, des variations à la pelle et des envolées qui font réellement penser à The Mars Volta. Je n'aime jamais trop les comparaisons mais ici, elle est évidente : les multiples tableaux de cet album alambiqué ont quelque chose du groupe d'Omar Rodríguez-López.



Dans ce cocktail de rock progressif parfois expérimental, à qui il reste quelques faiblesses sur le temps d'un album (mais c'est bien normal), Kwa Nqingetje est un titre qui symbolise à lui tout seul cet album. En même temps, il dure presque huit minutes, forcément, ça aide à développer ses arguments. Si After Robots n'est peut-être pas une tuerie immanquable, c'est un album qui ne devrait pas décevoir les fans du genre.
Chroniques d'albums > 05 novembre 2011
Il ne faut pas croire que la synthpop est morte en 1986. Ceux, rares, qui ne sont pas déçus par cette information pourront sans aucun doute remettre leurs oreilles au son du cinquième album de Ladytron, Gravity The Seducer. Les quatre liverpudliens, dont le précédent album Velocifero était un parfait plaidoyer de pop synthétique, relance donc la machine avec ce nouvel album annoncé comme "Baroque'n'roll" (n'allez pas me demander ce que ça veut dire), après avoir sorti un Best of 00-10.


D'ailleurs, on retrouve sur ce recent Best Of le titre Ace Of Hz, également présent sur Gravity The Seducer. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on n'est pas surpris : la recette est la même que sur les grands titres de Velocifero, les synthés sont toujours aussi présents et balisent les jeux de voix toujours aussi efficaces. Ladytron aligne dans ce nouvel opus quelques morceaux qui empruntent la même voie, comme l'excellent Melting Ice tout en montées, même si certains titres manquent un peu de finesse (Mirage, 90 Degrees).

En fait, Ladytron aurait pu se faciliter la tâche en proposant une nouvelle flopée de titres faits dans le même moule à faire des hymnes synthétiques aux gros sabots. Mais ce nouvel effort est empreint d'une certaine forme de légerté. Ladytron retrouve ses vieilles amours, beaucoup de titres ont un côté aérien, épuré, sans pour autant verser dans le minimalisme. L'entrée White Elephant assure d'ailleurs la parfaite transition entre les nuages de synthés et cette volupté entretenue par une rengaine tenace. C'est une atmosphère spéciale qui entoure cet album, si bien que les titres plus évidents comme Ace Of Hz viennent presque s'y perdre. Dans cette brume électro, on se laisse prendre par le fragile et cristallin Ambulances ou l'aérien Altitude Blues. Les longues progressions, la résonance des voix d'Helen Marnie et Mira Aroyo arriverait presque à rendre le vaporeux White Gold aussi inquiétant que magnifique, alors que d'autres titres se font plus incisifs et affirmés (Moon Palace).

Dans sa revue de détail, Gravity The Seducer s'offre même le luxe de placer deux titres instrumentaux (Ritual et Transparent Days), agréables sans être forcément indispensables, au contraire de la sortie Aces High, resucée discount de Ace Of Hz. D'une manière générale, on pourra regretter que certains passages se perdent dans cette volonté d'apaisement, mais c'est la maigre mauvaise contre-partie d'un album plus ouvert et plus éthéré. Gravity The Seducer laisse l'impression d'un agréable voyage. Leur récent Best Of a montré que Ladytron a su évoluer ces dix dernières années ; avec Gravity The Seducer, le groupe montre qu'il a de quoi donner encore de belles années à la synthpop.

Tracklist
1. White Elephant / 2. Mirage / 3. White Gold / 4. Ace of Hz / 5. Ritual / 6. Moon Palace / 7. Altitude Blues / 8. Ambulances / 9. Melting Ice / 10. Transparent Days / 11. 90 Degrees / 12. Aces High

Durée : 47:47
Label : RCA, Columbia
Sorti le 12 septembre 2011


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