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Carnet de notes > 31 mars 2012
Après deux très bons albums (A Certain Trigger et Our Earthly Pleasures), Maxïmo Park avait livré un plus que décevant troisième album (Quicken The Heart) il y a déjà trois ans. Depuis, leur figure emblématique Paul Smith s'est fendu d'un projet solo avec son album Margins qui a donné lieu à l'un de mes articles les plus improbables.

Cet album solo, plus vaporeux que l'univers habituel de Maxïmo Park, a peut-être permis au groupe de repartir du bon pied. Leur quatrième album intitulé The National Health est attendu pour le 11 juin. En attendant, un premier single du même nom est paru, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il reprend les bases classiques du (très) bon Maxïmo Park.

Un brin énervé, très tendu, ce titre pourrait bien annoncer un retour réussi du groupe de Newcastle. Maxïmo Park est capable de se sublimer sur un titre (après tout, The Kids Are Sick Again, single de Quicken The Heart, était plutôt bon. On espère que l'album sera du même acabit.

Vu en concert > 03 mars 2012
Initialement prévu à l'Aeronef, le succès de la programmation de Kasabian à Lille les a obligé à migrer au Zénith Arena. Un choix par défaut pour une salle sans doute un peu trop grande pour les accueillir, mais qui n'a pas eu raison du groupe ni de son public. Parce qu'il faut bien avouer que dans leur grande majorité, les fans du groupe ont répondu présent et n'ont pas manqué de reprendre chacun des grands titres des Anglais.

La première partie nous aura proposé Belakiss, qui aura beau présenter une fille à la guitare (mec, une fille à la guitare quoi), reste dans un rock très linéaire, un peu trop classique pour vraiment m'emballer ; pas mauvais du tout, juste un peu trop propre finalement. Le côté appréciable du Zénith, et il n'est pas à négliger, c'est que l'attente n'y est pas si longue (comprenez : on n'a ni besoin de fumer, boire ou remplir sa déclaration d'impots pendant l'entracte, une heure c'est trop).

Chroniques d'albums > 29 février 2012
Peut-on reprocher à un artiste de proposer quelque chose de nouveau ? C'est en substance la question que pose Given To The Wild, troisième album des Maccabees. The Maccabees, c'était un peu un des derniers espoirs de voir subsister cette brit-pop-rock nouvelle génération, un des groupes qui nous raccrochent encore à cette pop vitaminée des années 2000. Mais voilà, avec Given To The Wild, le groupe emmené par Orlando Weeks prend un tout autre virage, finalement très éloigné de Wall Of Arms, leur dernier album paru il y a trois ans et auquel j'ai beaucoup de mal à reprocher quoique ce soit...

Bon, là je placerais bien une petite blague sur le nom du groupe. Admettons : The Maccabees ne sont pas morts pour autant. Oubliés les titres imparables aux refrains incisifs des deux premiers albums, The Maccabees dépeignent ici un univers plus velouté, plus enveloppé, voire plus aérien. On peine presque à trouver des phrases magiques ou des riffs qui font mouche. Parce que cet album est déroutant à plus d'un titre (en effet, y en a 13. Merci pour tout.). Il n'est pas négligeable de dire que Given To The Wild gagne à être écouté plus d'une fois, mais encore faut-il avoir envie de lui donner une seconde chance.

A vrai dire, les chansons ne sont pas forcément déplaisantes, elles sont juste plus posées, si bien qu'on pourrait être tenté de descendre du train en pleine marche. Les montées en puissance sont moins expéditives, mais pas forcément moins intensives : le groupe aime nous servir des titres qui surposent les couches avant de décoller réellement. A ce jeu là, il ne faut pas cacher qu'il y en a pour tous les goûts, entre les morceaux qui donnent vraiment envie de se laisser faire (le sussuré Slowly One, l'emballant Ayla avec son intro de standard téléphonique, le final Arcadefiresque Grew Up At Midnight) et ceux, pas forcément désagréables mais un peu trop nombreux, qu'on aurait préférés écourtés (le doux Glimmer, Went Away).

Les effets sur la voix d'Orlando relèvent plus souvent de la truelle que de la pince à épiler : la réverb sur le pourtant très bon Unknow, et son final aux vocalises féminins a quelque chose de mystique. Le single Feel To Follow attaque sur une voix aiguë un brin bizarre, avant de résumer l'album en soufflant des rythmes chaud et froid, un peu comme sur Forever I've Known, un de mes préférés par sa chaleur et ses multiples rebonds. Il n'y a bien que Pelican, qui n'a pas été choisi comme single par hasard, pour nous rappeler avec son rythme soutenu et ses phrases ciselées qu'il s'agit bien d'un disque des Maccabees.

Il n'est pas impossible que j'aie déjà trop écouté cet album pour que mon jugement soit réellement objectif. Les écoutes ont été étonnées parfois, déçues aussi, perdues sans doute, finalement ravies. Et si on se demande où sont passés les Maccabees sautillants, il ne faut pas pour autant laisser de côté cet album qui offre une nouvelle facette au groupe.

Tracklist
1. Given to the Wild (Intro) / 2. Child / 3. Feel to Follow / 4. Ayla / 5. Glimmer / 6. Forever I've Known / 7. Heave / 8. Pelican / 9. Went Away / 10. Go / 11. Unknow / 12. Slowly One / 13. Grew up at Midnight

Durée : 52:51
Label : Fiction Records
Sorti le 6 janvier 2012 (UK)

Carnet de notes > 18 février 2012
Alors que At Drive-In remet le couvert en ce début d'année en annoncant notamment leur participation au Coachella en avril, les deux compères Cedric Bixler-Zavala et Omar Rodríguez-López relancent en même temps la machine Mars Volta. Comme d'habitude, le groupe n'a pas hésité à faire tourner la machine aux noms bizarres pour nommer Noctourniquet le prochain album à paraitre fin mars. On peut se demander s'ils n'ont fait tourner que ça.

En attendant, The Mars Volta vient de publier le premier extrait de cet album avec The Malkin Jewel, un condensé de ce que j'aime dans ce groupe, avec un côté barré mais surtout pas trop expérimental du style "Tu comprends pas ce qu'on fait ? Bah nous non plus". Bixler-Zavala y joue plus d'intonations que Nicolas Canteloup ne sait en faire, sans compter l'avantage que Nikos ne lance pas chacun de ses passages. Bon, d'accord, ça manque peut-être d'humour foireux (quoique "Noctourniquet", franchement, les gars...), mais pour le coup, voici un titre bien foutu, et c'est déjà pas mal.

Carnet de notes > 05 février 2012
J'ai plusieurs fois évoqué la force d'une chanson ou d'un album pour retourner à un endroit ou une époque précise ; cette sensation qu'en une écoute, en quelques notes, tout un univers de souvenirs remonte à la surface. C'est précisement le cas avec le tube de Black, Wonderful Life. Ou plutôt, ça l'était.

Parce qu'à refaire le chemin, mon histoire avec cette chanson commence vers 1988, quand après une première sortie single passée inaperçue deux ans plus tôt, le titre de Colin Vearncombe alias Black trouve enfin le succès auprès du public Français. Un très bon titre, pas exceptionnel non plus, mais assez plaisant pour squatter les ondes de l'époque. Et en pleine période de découverte musicale, entre deux briques de Lego, Black passait par là.



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