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Les Nazemixes > 04 mars 2017
Ah oui, ça faisait donc presque deux ans et demi que je n'avais pas proposé de nazemix... En même temps, ça fait bien un an et demi que j'ai attaqué la refonte du site, c'est dire que les projets vont bon train en ce moment.

Du coup, je m'excuse par avance si l'interface est de plus en plus moyenâgeuse et que le site plante à votre quatrième tentative.

Bref, le sujet de ce 91e Nazemix est pour le moins original, puisqu'il vient d'une private joke. A force de faire des Blind Test, on se demandait quel pourrait être le thème le plus pourri sur lequel on pourrait être calé. Le résultat est sans appel : les Daniel. Alors je ne peux pas vous donner d'exemple puisqu'il m'a déjà été difficile de constituer un Nazemix de 20 titres sur ce thème. Vous y trouverez des morceaux où le rapport avec "Daniel" est évident, d'autres un peu plus tordus où il faut chercher parmi les membres du groupe.

Promis, je ne recommence pas avec les Jean-Claude.




Classement actuel (6 joueurs)
1. LoKis [40], 2. poiuyt [40], 3. mr.suaudeau [32], 4. Ecirtap7 [30], 5. Val [26], 6. mbfcs2 [0]
Portfolio > 02 novembre 2016
On ne va pas longtemps profiter d'un soleil d'automne sur les quelques fleurs qui subsistent encore dans le jardin. On ne va pas souvent en profiter un dimanche matin. Alors autant le faire maintenant.

Carnet de notes > 19 octobre 2016
Il est amusant de voir comme on peut facilement associer un moment, un endroit, une chanson à des personnes. Quand j'avais encore la prétention de penser que j'étais capable d'écrire des articles à rallonge, je m'étais dit que je raconterai comment mon trajet quotidien était un enchaînement de passages qui m'évoquent tous, ou presque, une histoire, une réflexion, une anecdote. Dans cette playlist "Best Of All-Time" on ne peut plus subjective que je parcours ces temps-ci, il y a tant de chansons qui doivent une grande partie de leur présence à une émotion que je leur ai associé, fortuite ou non.

Il n'est pas évident que j'aurais écouté Everything Everything par moi-même. Il est même plutôt évident que le son absolument foutraque, les jeux de voix triturées et les aigüs réguliers qui composent Qwerty Finger, le premier single du groupe que j'ai pu écouter, m'ont d'abord insupporté. Il a donc fallu qu'on m'en redonne, qu'on me fasse entendre quelque chose que je n'entendais pas. Et bien sûr, ces sons grossièrement synthétiques et ces mélodies ont fini pour certains par me faire basculer de l'autre côté, plus jaune et rose fluo qu'obscur.

Qu'est-ce qu'on a pu débattre sur Everything Everything, pour savoir quelles chansons il fallait écouter pour s'y mettre comme pour éviter l'hydrocution, jusqu'à quel titre peut-on écouter l'album sans être déçu... Réussir à me faire aimer une chanson basée sur un son de toux, faut le vouloir. Pourtant, Cough Cough a ces accents des chansons haut perchées et déstructurées, comme un bon Focker de Late Of The Pier, comme un bon titre des Klaxons avant qu'ils ne se prennent pour un boys-band. Bref, tous les ingrédients pour me plaire une fois la bête apprivoisée.



Il y a cinq ans, j'avais écrit un article sur Laïka d'Arcade Fire, pour indiquer à quel point l'influence d'Alex - mr.suaudeau pour les intimes - avait été forte dans mes écoutes musicales. C'est donc lui qui a mis Everything Everything sur mon chemin, en me balançant Qwerty Finger sur une compil fait maison (salopard), puis en m'en parlant assez pour que je ne retente pas ma chance. C'aurait pu être tant d'autres titres, c'en sera sans aucun doute un nouveau l'an prochain. En tout cas, c'est à lui que sera définitivement associé le titre d'aujourd'hui, et qui sera donc parfait pour lui souhaiter un anniversaire jaune et rose fluo.

Carnet de notes > 17 octobre 2016
Pour parcourir ma playlist "Best-Of All Time", je trouvais bonne l'idée de suivre l'aléatoire, et de m'arrêter un peu plus sur une chanson qui correspondait avec mon humeur actuelle. Et puis je suis revenu sur ce point un peu bizarre : la première chanson de cette playlist est celle d'Athlete, The Outsiders. Il ne s'agit pourtant pas de ma chanson préférée de tous les temps, seulement de celle qui s'est trouvée là le jour où je me suis enfin lancé à la création de cette tracklist.

Et comme un symbole Bixente, il se trouve qu'Athlete est associé dans mon esprit à une photo, une des premières que j'ai faites avec Elle. C'était lors de notre deuxième rencontre, celle qui allait tout changer, et sur son ordinateur, on voit cette brève que je venais d'écrire à propos du pas-tout-à-fait-terrible single Superhuman Touch. Ça fait donc sept ans maintenant, et je n'ai plus aucun souvenir de ce à quoi pouvait ressembler Superhuman Touch. Heureusement que cette partie là de l'histoire que j'ai oubliée, tiens.

Donc, The Outsiders. Le titre d'ouverture de la playlist, le titre dont se jouent les premières notes dès que je n'arrive pas à claquer la lecture aléatoire du premier coup. Ça tombe bien ; l'ouverture est représentative de tout ce que j'aime dans ce morceau : ses intonations minimalistes, cette boucle qui se traîne à la façon dub-step suisse et qui pose une nostalgie ambiante. Le refrain vient comme à la relance, sans jamais casser la linéarité du morceau qui s'étend dans une sortie sans fin autour de quelques notes de piano. Tiens, ce titre, tu peux aussi le mettre dans ta playlist "dimanche aprem grisaille".



Athlete est un de ces groupes britanniques reconnu sur ses terres, mais qui n'a pas eu la chance de claquer un hit qui aurait trouvé sa place entre deux rotations de Police et Eurythmics sur RTL2 pour se faire connaitre en France - façon Starsailor (d'ailleurs, pensent-ils vraiment avoir été numéro 1 avec leur version album de Four To The Floor ?). Black Swan, sorti en 2009, reste à ce jour le dernier album studio sorti par le groupe. En attendant du neuf, il est toujours temps de se passer une pépite comme The Outsiders, issu du deuxième album Beyond The Neighbourhood. Surtout si c'est dimanche aprèm.
Carnet de notes > 13 octobre 2016
Comme ça fait bien longtemps que je ne me suis plus vraiment extasié à l'écoute d'un titre récent (oh le vieux con aigri), j'ai décidé de prendre la route contraire et d'en venir à détailler ce qui constitue aujourd'hui ma playlist "Best Of All-Time". Derrière ce nom pompeux qui suit la grande lignée de toutes les compils que j'ai pu faire dans ma vie (bordel, il faudrait que je retrouve mes compils sur K7 du collège) se cache une tracklist de tous les titres (ou presque) qui m'ont marqué, dans tous les sens du terme. Mais j'y reviendrai sans doute plus tard ; en attendant, l'écoute de cette playlist me conforte dans l'idée qu'il existe toujours des morceaux qui foutent les poils.

Le hasard de l'aléatoire a voulu que je retombe sur un titre figurant sur le premier album éponyme des anglais de Kasabian. A l'époque, le groupe ne tentait pas de lorgner sur des beats mainstream pour pouvoir figurer dans toutes les bandes-annonces télés qui se respectent et proposait un son assez personnel, entre les paroles crachées par Tom Meighan et un son à la limite du crade. L'ambiance de l'album, malgré les quelques titres aux refrains-hymnes (Club Foot, LSF), est assez lourde, et au milieu des titres plus énervés viennent se glisser deux pépites lancinantes, plus posées.



Je m'attarde aujourd'hui sur celle qui clôture l'album : U Boat. Ce titre, chanté par Serge Pizzorno, habituel guitariste et surtout songwriter du groupe, tranche par son côté minimaliste et dépouillé. La voix de Serge est bien évidemment bien moins affirmée et confiante que celle de Meighan, mais elle apporte toute sa fragilité au titre qui s'emporte vers une fin aux allants éléctro. Quand j'écris ça, j'ai toujours l'impression d'annoncer un DJ peroxydé qui vient balancer un beat de makina, mais on parle bien ici des arrangements, qui ne font que confirmer l'ambiance posée tout au long de la chanson. Au fil des albums suivants de Kasabian, Serge viendra poser sa ritournelle habituelle, mais jamais elle ne pourra avoir la candeur de ce U Boat.



On avait pas dit qu'on arrêtait la lumière bleue ?


A 3 heures près j'étais en avance

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