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Le Grenier du NazeJournal > 22 avril 2020
Hey dis donc on se connait non ?

Bah figurez-vous que ça marche encore, l'ajout de pages ici. Enfin, techniquement. Pour ce qui est de ma production on est encore un peu dans le flou.

En tout cas il est important de noter que le site, sous quelque forme que ce soit (et surtout sous quelque nom que ce soit) vient de passer les 20 ans d'existence. Ouais ouais, 20 ans. En d'autres termes, il y a des articles ici qui ont plus de 20 ans. Ok, pas des masses, mais il y en a.

J'en suis pas à vous remettre en ligne BingoWeb mais j'ai les archives.

Bref. On en a vu des choses. On en a rencontrés des gens. Mais un confinement, alors ça, j'y avais pas pensé.

Eh bah figurez-vous que ça m'a donné une idée de connerie à faire : un live show hebdomadaire. A l'heure où j'écris ces lignes, nous avons déjà fait 5 émissions, et je vous propose la dernière en date, les autres étant disponibles sur la chaine YouTube de votre serviteur (c'est moi).

Je vous embrasse.

Chroniques d'albums > 15 novembre 2017
Concernant les albums, je l'ai souvent dit ici, j'ai tendance à donner une grande importance aux toutes premières écoutes, celles qui ne sont pas conditionnées par une familiarité qu'aurait provoqué des écoutes répétées. En ce sens, Nocturne (en flamand "Nokrkrkrkjeturnen") le quatrième album studio des belges de Girls In Hawaii, avait tout pour me laisser sur ma faim.

Notamment parce qu'en tant qu'adorateur absolu de leurs productions qui m'ont maintes fois accompagné ces dix dernières années (à la louche), les premiers sons très synthétiques et teintés 80's extraits de l'album (Walk, Indifference) faisaient craindre un écart difficilement compensable avec l'univers attendu et connu du groupe. Nocturne reprend là où le lourd, dense et envoutant précédent album Everest nous avait laissé, et le message que semble envoyer les premières bribes de ce nouvel album sonne comme une cassure complète.

Les premières écoutes complètes de Nocturne ont d'ailleurs tourné dans ce sens : sans que l'écoute soit désagréable, il me manquait des titres auxquels me raccrocher, des coups de cœur immédiats comme j'en avais eu sur les albums précédents. Mais surtout, un manque de repères flagrant, alors que Girls in Hawaii est typiquement le genre de groupe auquel on aime se raccrocher, une sorte de "gars sûr" de la musique, en somme.

J'ai laissé reposer un peu la galette pour justement ne pas m'acharner dessus et lui laisser encore un peu de fraîcheur. J'ai repris l'écoute, et effectivement, au bout de la 41e écoute, c'est pas mal en abordant Nocturne d'une autre manière, sans en attendre une direction spécifique. Là, l'album prend une autre tournure. En donnant une touche plus électronique et plus pop à leurs compositions, moins enveloppées dans les grandes envolées qu'on leur connaissait, les Girls In Hawaii ont réussi le tour de force de faire évoluer leur musique sans se dénaturer ni créer de rupture brutale avec leur univers. On reconnait toujours les mélodies du groupe, leur patte derrière les variations mélodiques, les petits trucs caractéristiques comme les phrases répétées à l'envi (les 74 "Indifference" finaux sur le titre éponyme, les 5 minutes de "Keep your distance from this light" de l'ouverture).

Derrière des nappes un peu moins étendues, relancées par des refrains plus tranchants et parfois plus terre-à-terre, on retrouve finalement quelques mécaniques peut-être moins évidentes que celles attendues. Il y a ça et là des perles qui nous rassurent sur la continuité de la qualité des productions du groupe : l'écharpé solitaire Cyclo (celle-là je l'ai bossée) rappelle les douceurs du premier album, la mélancolie des mélodies du refrain de Willow Grove ont tout d'une évidence, la parfaite fragilité de Monkey est un numéro de funambule maitrisé. Une mention spéciale pour Overrated, dont le refrain brise l'ambiance lourde posée par des couplets aux accents 80's qui n'auraient pas dénoté dans une compil de raretés synth-pop.

Ce qui fera pencher la balance pour l'auditeur, surtout s'il est un habitué des sonorités des Girls in Hawaii, ce sera l'aptitude à tolérer cet élan de petites choses nouvelles : ces effets de synthé "bulles de savon" sur Indifference, ces effets sur la voix dans le taillé-radio Guinea Pig ou encore la longue sortie électronique de l'épuré Blue Shape. A l'image du single Walk, single pop dont le refrain reste facilement en tête, Nocturne offre aux Girls in Hawaii une nouvelle facette qui mérite au final bien plus que quelques écoutes.

Tracklist
1. This Light / 2. Guinea Pig / 3. Cyclo / 4. Indifference / 5. Overrated / 6. Blue Shape / 7. Walk / 8. Monkey / 9. Willow Grove / 10. Up On The Hill

Label : 62 TV Records
Sorti le 29 septembre 2017
Carnet de notes > 24 octobre 2017
Pendant mon adolescence, j'ai eu une passion dévorante pour la musique des années 80, notamment toute la frange New-Wave / Synth-Pop ; bon nombre d'articles ici sont là pour en témoigner et montrer l'influence qu'elle a encore. Attention : quand je dis "frange", ce n'est pas pour faire hommage aux coupes de cheveux de ces années-là.

J'ai donc accumulé les compilations, subi les tubes populaires et galéré pour trouver quelques pépites ou titres moins évidents. C'était quand même à une époque où tu téléchargeais un titre en qualité sonore proche du téléphone en moins de 8 minutes chrono, pas à celle où tu pouvais retrouver l'ensemble des Collaroshow sur YouTube.

Dans tout ça, je me souviens très bien avoir flashé sur Waiting For A Train de Flash And The Pan, un titre qui me frustrait par son refrain ultra prenant mais trop rare à mon goût, si bien que je m'en étais fait une version à rallonge avec plus de refrains qu'Umberto Tozzi chante de "Gloria". Le reste de la chanson est assez caractéristique du son du groupe à ses débuts, avec des couplets chantés à la murray-head-dans-one-night-in-Bankgok, comme on dirait si on n'avait pas trop d'estime de soi. Plus tard, en cherchant les paroles, je me suis rendu compte qu'il devait manquer un sacré passage, chose confirmée depuis puisque la version totale fait pas loin de neuf minutes. Et cette version est sympa, parce que devinez quoi : y a plein de refrains dedans.

Hier, en voyant passer un message à propos de Flash And The Pan, ça m'a rappelé aux bons souvenirs. Hier, on annonçait la mort d'un des deux membres du groupe, George Young, surtout connu pour avoir produit l'AC/DC de ses deux frères. Alors je ne vais pas balancer mon super mix avec ses 24 refrains, mais c'est avec plaisir que je remets ce Waiting For A Train, l’occasion de découvrir un clip totalement en phase avec son époque et de se poser cette question existentielle : mais que font ces danseurs ici ?



Et parce que vous voulez la version longue (si si) :



Vu en concert > 01 juin 2017
Il y a, pour ma part, deux façons d'aborder le concert de Depeche Mode qui vient de se dérouler au Stade Pierre-Mauroy de Lille Villeneuve d'Ascq (score à la mi-temps : 0-2). Les anglais, dans la frange "tournée des stades" de leur Global Spirit Tour, venaient défendre leur 14e album studio sorti au printemps, Spirit. Je m'excuse ici de ne pas placer plus de mots sur la première partie assurée par The Horrors (album de l'année NME 2009 QUAND MÊME OK ?), l'atmosphère tendue du parvis, les lumières plein phare sur le public et l'arrivée bien trop tardive dans la salle m'ont totalement fait zapper leur prestation.

Le studio > 01 mai 2017
Tiens, j'avais la page du NazeJournal ouverte, et je me suis dit que ce serait dommage de ne pas augmenter drastiquement la diffusion de cette vidéo que je viens d'achever. Mais j'ai pas trouvé de solution pour ça, alors je me contente de la poster ici.



Voici donc la vidéo de notre balade sur le sentier Yourcenar, quelque part entre France et Belgique, dans les Flandres des Hauts-de-France. Presque 3 minutes de bonheur à plein nez.

Réalisée le 10 avril 2017 (j'aurais bien mis "le 10 avril dernier", mais vu le rythme de publication c'est un peu casse-gueule comme tournure, 'voyez), elle me montre avec le gars Flo[1] profiter du vent, principalement.

Enjoyez.


Notes du bas de la page (ou un peu avant)
[1] Cette tournure, elle, n'a jamais été actuelle. Jamais.


C'est bon de revenir chez soi

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