Il m'est souvent arrivé d'avoir envie de parler sur le NazeJournal de choses qui me tiennent à coeur, des choses que je croise presque tous les jours ou qui font partie de ma vie, sans jamais concrétiser, par manque de contenu. C'est vrai, difficile à la fois de tenter de faire quelque chose de captivant sur des détails insignifiants d'une vie qui l'est tout autant, sans non plus rentrer dans le schéma classique du blog qui aborde le pan d'une vie qui n'est captivant que pour celui qui l'écris. Surtout ici où je tente quand même de glisser de la gaudriole et de varier les sujets pour que tout le monde y trouve son compte.
Et puis quand j'ai repensé il n'y a pas si longtemps les différentes catégories du site, j'ai mis en place une partie plus personnelle, pour laquelle je me suis convaincu que si raconter sa vie au monde entier pouvait être plus repoussant qu'une page avec des gifs animés, si c'était bien amené, on pouvait faire de n'importe quel sujet quelque chose de sympa. Alors sans aller jusqu'à la prétention de croire que vous raconter comment je borde mon lit vous intéressera sous couvert d'y placer une blague pourrie à chaque virgule (comment veux-tu LOL), j'ai travaillé une petite sélection -
non exhaustive, j'ai gardé les traits vraiment personnels, les passages tristes et quelques éléments tous aussi importants mais qui prêtent moins aux blagues - d'objets symbolisants des passions ou passages de ma vie. Ces objets sont d'ailleurs pour la plupart prétexte à l'ouverture du sujet vers d'autres objets l'environnant, c'est que j'ai bossé le truc. Tellement qu'il y a de la vidéo molle dedans...
01
Le MBFCS
du foot champagne, ou plutôt Canada Dry
A tout seigneur tout honneur, et s'il a fallu trouver un objet pour symboliser le MBFCS, j'ai choisi l'amas de documents tous les plus indispensables les uns que les autres, avec au premier plan les quelques numéros de
MBFCS News, le magazine. J'aurais pu prendre un Beach, mais ça fait longtemps que plus personne ne sait où ils sont vraiment. Et encore, il ne s'agit pas du premier ballon estampillé
Michael Beach, puisqu'il a disparu derrière un mur de jardin à jamais.
En attendant, impossible de ne pas revenir sur le Michael Beach Football Club Senlis, qui, au-delà de la simple appellation et des tournois qu'il a vu naître, représente bien plus. C'est dans ce nom toute la dimension du football pas business du tout, de l'élévation en héros du petit gros de la défense centrale, du crochet extérieur du droit / double contact / gardien dans le vent puis frappe sur le poteau, le schéma tactique à virgule,
le barbecue avant le match... Et toujours avec du sérieux dans la blague, parce que quitte à faire le con, autant faire le con de qualité.
Alors si aujourd'hui le MBFCS en tant que club actif est bien loin derrière moi, son esprit de gaudriole est toujours présent. Oser tenter le retourné acrobatique seul face au gardien, là où le plat du pied qui rassure s'imposait, et évidemment, le rater.
Mais avec classe.
02
Le premier maillot, et la première paire
de gants, roh, enfin
Quand j'ai commencé à m'intéresser au foot, c'était la belle heure des retransmissions de la coupe de l'UEFA sur la Cinq, et l'Allemagne venait tout juste d'être Championne du Monde. Le Championnat d'Italie était la référence, du coup on pouvait voir les matches Européens de la Sampdoria contre Anderlecht. Marseille entamait sa grande aventure Européenne, et si je n'ai jamais été supporter de l'OM,
j'étais fan de Chris Waddle... Le samedi après-midi,
après Bernard Montiel et sa Une est à Vous, on avait parfois un Lens - Caen avec les maillots TF1 en Coupe de France, avec Pierre Laigle contre
Yvon Lebourgeois. Et le dimanche soir, c'était
Téléfoot avec Frédéric Jaillant et le tableau récapitulatif des scores sur fond vert.
Quand on est petit, il suffit d'une phrase d'un commentateur pour que tout bascule. J'ai été marqué par la jambe plus courte que l'autre (ou plus longue, c'est comme on veut) de
Rudi Voller, mais surtout par le tireur de coups-francs que fut ma première idole,
Thomas Häßler. Pourtant, on ne peut pas dire que je le voyais beaucoup, mais il a du me suffire d'une seule fois pour en devenir fan. Ne vous plaignez pas, j'aurais pu mettre les Tortues Ninja à la place.
Bref, si ça explique le premier maillot (puisqu'il jouait alors à la Roma), c'est aussi pour parler des multiples parties de foot : celles dans le boulodrome devant chez moi, où le voisin organisait des
PSG - Bordeaux avec maillots en T-Shirts customisés et mon 9 parisien (pfffff) ; les innombrables parties avec les taupes comme amies ; les matches au MBFCS bien sur ; les mini-coupes du monde avec des balles en mousse ; les matches "cour de récré" et tous les jeans troués sur le goudron ; les deux tentatives au club de ma ville gérées comme un club pro (
toi j'aime pas ta gueule, tes parents sont pas connus, alors tu joues pas) ; la fabuleuse année à l'ASOC ; et enfin les deux années de Futsal à Tours, avec TiJu et les autres... Assez vite, j'ai préféré la place de gardien, avec ces premiers gants que j'ai usés jusqu'à la paume, et qui sentaient incroyablement mauvais...
Alors, pour ne pas vous laisser en reste, tout cela méritait bien une petite compilation de foot mou, des premières parties au futsal, en passant par le MBFCS et les claquettes molles...
03
Les tchites figurines
et puis plein d'autres choses...
Si j'ai choisi ces deux figurines-là, c'est parce que ce sont les quelques objets qui sont encore sortis chez moi et qui rappellent
le nombre impressionnant des conneries liées au foot que j'ai pu avoir entre les mains. Et aussi parce que la figurine de Klaus Allofs doit faire partie des toutes premières que j'ai pu avoir, achetée à Namani (rien à voir avec un joueur de Monaco) et préférée à l'époque à celle de Jean-Pierre Papin, une preuve que mon destin était
footballistiquement Bordelais (et donc de qualité). La figurine d'Eric Cantona est le fruit d'un retour en ferry d'un voyage scolaire en Angleterre où le gestionnaire que je suis n'avait plus qu'une dizaine de Livres en poche, pas assez pour s'emmerder à les ré-échanger, et puis surtout trop intéressé par cette idée d'avoir un Cantona miniature, préféré cette fois à David Ginola, mais aussi à
Evil Empire que d'autres s'empressaient d'acheter dans le Virgin en face...
Au-delà des figurines, on peut ajouter les pin's improbables de maillots tout aussi improbables (
le Shopi de Lens, le Sollac Messin, le Commodore Parisien), des grands Zidane, Batistuta et Wiltord qui ont squatté des murs pendant des années, la pile de bouquins (un abonnement plus que long à Onze Mondial avant de comprendre qu'un mensuel qui veut suivre l'actu, c'est pas facile, mais aussi à Giga Foot - si si -, les quelques numéros de Foot Infos, des France Foot à la pelle qu'on se croirait chez Thierry Roland, et quand même
les Cahiers du Foot et So Foot), la pile des VHS (du temps où j'avais l'enregistrite aiguë, qui m'offre aujourd'hui, certes des
Roumanie - Argentine 94', mais aussi des matches Montpellierains de Coupe de la Ligue, et ça ça pique), et par dessous tout, la collection des collections Panini. Y en a plein. Partout. Et j'adore ça en plus.
04
Le classeur
moi aussi je peux serai Roberto
Pour finir avec la partie foot, j'ai tenu à mettre de côté une pièce particulière, parce qu'elle est unique, et c'est normale, puisqu'elle est personnelle. Allez savoir pourquoi, un jour, enfant, j'ai eu la bonne idée de noter sur l'intérieur de la couverture d'un classeur la liste des équipes qui composait la Division 1 de l'époque, à la place même de l'emploi du temps. C'est que je devais plus être intéresse par
les arrêts de Michel Dussuyer que par le Corbeau ou le Renard. Mais voilà, l'année suivante, j'ai fait la même. A côté (tout est chaos).
L'année suivante, j'ai un peu triché. Trouvant l'idée sympa, j'ai ajouté la saison précédente à la première. Puis ajouté l'actuelle. Puis, l'année suivante, j'ai pas oublié. Et depuis la saison 1991/1992, pas une seule fois, je n'ai oublié d'ajouter la liste des participants au Championnat actuel. Ça ne sert strictement à rien, c'est un rituel, chaque année j'écris de plus en plus petit, et dessus, non seulement il y a Châteauroux, mais
il y a aussi Gueugnon, Angers et Istres.
05
Tegucigalpa, M'babane et Canberra
La Yougoslavie, l'URSS et la Tchécoslovaquie
Parce que si je regorge d'idées bizarres, quelque part, c'est que je le suis moi-même. Et alors que d'autres se passionnaient pour le
Club Dorothée, et sans aller jusqu'à la prétention d'étudier la physique quantique dès mon plus jeune âge en mâchant mes Rice Krispies, j'étais bien plus intéressé par les atlas et autres bouquins de géographie. J'ai explosé le quota de puzzles départements-français, de l'Europe ou du Monde, de planisphères, de mappemondes ou même de jeux avec les drapeaux.
Bien plus qu'une simple envie d'apprendre par coeur les capitales pour se la péter, c'était vraiment une passion, qui l'est toujours mais forcément un peu moins forte. Avec des périodes avec un pays préféré (au fin fond de mes souvenirs, l'Irlande, l'Italie,
et encore plus glamour, la Belgique), et des recopiages de cartes et coloriages de drapeaux en cascades. Parmi tous les ouvrages que j'ai pu accumuler, les derniers en date sont bien plus artistiques que statistiques, comme le furent les premiers, à l'image de ce
Livre de Tous les Pays, un des premiers, plein de dessins et de cartes, mais dont j'ai pas du lire la moitié des textes. N'empêche que c'est avec ça que j'ai tout appris, et sans doute à cause de ça qu'aujourd'hui encore, avec des amis bien intentionnés, on se relance dans la conception de cartes de France à l'échelle un peu trop énorme.
06
A donf près du radiateur
et le début de la gaudriole
Les années Collège, c'est l'arrivée des conneries en masses, pas encore tout à fait développées, mais sans doute un peu plus poussées que les parties de foot avec le ballon en mousse. Si elles n'étaient pas encore aussi poussées qu'elles ont pu l'être après, c'est plus par les livres et la radio qu'elles sont arrivées. Et aussi étonnant qu'il puisse paraître, c'est un livre signé Arthur - si si -
dans la même collection que les Ta Mère - si si - qui a été une bonne grosse source d'inspiration (je me suis toujours plu à penser qu'il était signé Manu Levy). Et alors que jusque là mes seules doses d'humour étaient la télé des Inconnus et les
Bud Spencer / Terence Hill, c'était l'arrivée d'un humour un peu plus méchant, un peu plus cru, voire crade, avec de l'autre côté
La Cité de la Peur de Les Nuls qui a usé sa bande un nombre incalculable de fois sur le lecteur VHS - si si.
C'était aussi l'époque du magazine
XL, et de son ton qui a franchement déteint inconsciemment sur le NazeJournal par la suite, ces tics de langages, ces mélanges de conneries au milieu des articles qu'on croirait sérieux, des jeux de mots foireux mais assumés aussi. Pas franchement de quoi fouetter un chat, c'est sur, mais assurément le début de quelque chose. Et même si
A Donf Près du Radiateur raconte les plus belles façons de ne rien glander en cours pour l'année du bac, et faisaient référence à plusieurs sujets qui m'étaient alors complètement incompréhensibles, je l'ai lu et relu, et il m'arrive encore de me relancer sur quelques chapitres, même si je les connais par coeur. A noter que ce livre emploie énormément le principe de la note de bas de page, reprise ici avec à peu près autant d'emphase.
07
Les débats de Gerard, Fun Radio
et le walkman sous la couette
Parce que dès le collège, et jusqu'au lycée,
Max et le Star System, y compris les
débats de Gérard, mon accompagné sans discontinuer. Avec forcément un peu de Fun Radio autour, entre la
Libre Info de Florian Gazan et son jeu du stupido (et si), le Doc et Difool dans
Lov'in'Fun, mais surtout Max. Je m'en suis fait des cassettes à n'en plus finir durant sa période du Star System, mais également des Débats de Gérard. Une passion qui en a étonné plus d'un, et qui, avec un peu de recul, me parait complètement absurde. Mais certainement pas autant que l'émission en elle-même.
Comme un point de repère, tous les soirs je retrouvais Max et sa bande, les habitués -
Françoise, Jean-Pierre Sauser, mais aussi Ricky Larsen qui m'a ouvert la voie vers tant de si bonnes chansons - si bien qu'aujourd'hui encore je suis chargé de références de cette époque et de bonnes répliques. Parce que les cassettes n'étaient pas vaines, elles ont réellement été écoutées en boucle, et j'en connais beaucoup sur le bout des doigts. Difficile de dire ce qu'il m'y plaisait vraiment, entre la bonne ambiance et les piques entre les membres de l'équipe, ou si c'était comme on en a à cet âge une passion qu'on se donne (j'ai échappé aux Boys Band, c'est déjà pas mal). Toujours est-il qu'il m'arrive toujours de me relancer dans l'écoute de certains passages et de débats de Gérard, et que quand je découvre quelqu'un qui a cette passion commune (parce que souvent, on la découvre, c'est rare de s'en vanter), je constate qu'elle n'a pas été marquante que pour moi.
08
TP131 On DVD
et tant d'autres conneries
Avec le temps, il était devenu normal que les conneries prennent de plus en plus d'ampleur. Surtout que j'avais tendance à m'orienter assez naturellement vers les personnes aussi tarées que moi. Si ma première terminale a été une des années les plus terribles, réunissant à la fois mes meilleurs amis de primaire, mais aussi ceux du collège et du lycée, sorte de combo ultime accouchant des pires conneries, accouchant naturellement d'un bon de redoublement, l'IUT a été l'occasion de passer à la vitesse supérieure.
Et si cette fois, évidemment, on ne se connaissait pas, il faut croire que la chance était encore une fois avec moi, accouchant d'une petite dizaine d'individus plus fous les uns que les autres, mais certainement pas les moins motivés (la preuve avec la récompense ultime du
meilleur jeu de dominos en C, grâce sans aucun doute à toutes les astuces et effets graphiques déployés par la bande) forçant l'année d'après la direction à envisager la séparation des groupes formés en première année. Sauf qu'on ne nous arrête pas comme ça, et cette seconde année aura été celle du
TP131 on DVD, un DVD contenant une journée fictive pleine de conneries, entre gobages de Flamby, faux
Jackass, clips musicaux de Willy Djebbzey, fausses pubs, parodies de James Bond... une idée gigantesque mais qui aura vu le jour au bout d'un an de tournage, et qui est la représentation parfaite de tant de conneries dans lesquelles j'ai pu me lancer avec certains (dont quelques-uns reviennent souvent quand même) et qui paraissent folles. Un DVD qui a été gravé sur des disques foireux, si bien que j'attends toujours d'en recevoir un neuf pour vous en faire profiter...
A travers ce DVD, qui reste le projet le plus abouti, c'est aussi un tas d'autres idées qui se cache, avec le film tourné, et sans doute pas fini avant 20 ans, lui, à Tours (mais dont le NazeJournal propose en attendant, la première scène), mais aussi des sites Internet consacrés aux championnats mous, des projets de films sur un
road-trip plein de Frédéric François...
09
La collection qui va bien
Massacre de gueules en senestre
Allez savoir si cette collection découle de la passion géographique, mais une chose est sûre, c'est que j'ai toujours aimé associer les villes ou les pays à une identité. Aussi, et depuis mes soirées passées devant
Jeux Sans Frontières, et sans qu'il ne s'agisse de réelle synesthésie, la France est bleue, l'Italie aussi mais plus clair, la Grèce bleue aussi, mais plus foncée, Saint Marin jaune, comme la Tunisie ou la Hongrie. Et je vous épargne les couleurs des jours associées à celle du... Télé 7 Jours (le drame quand ils ont dégagé le jaune du lundi pour un bleu plus clair que celui du mercredi).
Bref, la seule véritable collection - hormis celle des collection Panini - que j'ai eue et suivi fut celle des écussons. Sans jamais véritablement sombrer dans la folie, mais claquant des fois tout l'argent de poche là-dedans, ce qui ne représente pas beaucoup à l'échelle humaine, mais un peu plus pour un enfant. Et si elle n'est pas vraiment fournie, c'est parce que je n'ai jamais cherché à en récolter par tous les moyens, mais uniquement dans les lieux où je suis allé. Alors, avec le temps, la collection a un peu changé, et comme je n'allais plus nulle part, j'ai élargi mon champ de recherche. Et si elle n'est plus suivie au point de faire des recherches dans tous les sens, je la continue quand même, demandant à ce qu'on m'en en ramène, et ça me fait toujours autant plaisir. C'est ainsi que
j'ai récemment passé une bonne après-midi à chercher celui de Lyon, et que je suis content de pouvoir compter dans ma collection des écussons de Belgique, du Portugal ou d'Irlande (ces cons), qui m'ont été rapporté à chaque fois. Sans compter que je reste passionné par l'héraldique, et même si c'est moins important qu'avant, ça m'intéresse toujours.
10
Le disque qui a morflé
S'il ne fallait en garder qu'un
J'étais obligé de choisir un disque. J'aurais pu en choisir plusieurs, mon premier par exemple, mais
La Plus Grande Discothèque du Monde Volume 7, ça flinguait tout. J'aurais pu choisir aussi mon premier disque d'artiste,
Smash de Offspring, ou prendre comme exemple
un Top DJ 4 avec des restes de riz de salade composée de boum. J'aurais pu choisir plusieurs disques qui m'ont marqué, mais qui ont plus été des écoutes via l'ordinateur. Alors j'ai choisi le disque que j'ai sans doute le plus écouté "en vrai", le premier de Depeche Mode que j'ai eu, celui qui m'a rendu complètement fan du groupe aussi. Commencer par un
menu Best Of, c'est un peu bâtard (
fils de pute !), mais ça m'a donné envie de voir toutes les facettes du groupe. Du coup, le disque a tourné encore et encore, et, c'est écrit, les singles de 86 à 98 ont agrémenté musicalement les ballades pendant de nombreux mois. Et
Never Let Me Down Again par dessus les champs de betteraves, ça restera à jamais gravé.
Le disque fait encore partie de cette suite de disques qui n'ont pas eu la chance d'être de ceux que j'ai chouchoutés, et entre transports et poses non délicates, le boitier, comme beaucoup d'autres, est complètement explosé (entre le volet "double CD" qui a cédé, ah ah jeux de mots, le boitier fendu, les dents pour tenir le CD qui ont sauté, la tranche qui n'a pas survécu, et
Behind The Wheel aussi rayé qu'on dirait un remix de poiuyt powa!). C'est donc, par conséquence, le seul disque que j'ai acheté une seconde fois. Quelqu'un sans goût s'en est même débarrassé si bien que je l'ai récupéré une troisième fois, ce qui fait, cette fois, un peu beaucoup. En même temps, certains fans sont prêts à payer des fortunes pour une minuscule impression japonaise en bas de la couverture...