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Chroniques d'albums > 13 octobre 2012
Ce quatrième album de Bloc Party est vraiment bien. La preuve, c'est que j'en parle sur Ocean Of Noise, le site mené par la main de maître de Gary.

Gary m'a offert la possibilité de publier cet article sur Ocean Of Noise, j'ai pas pu refuser (c'est qu'il fait bien les yeux de cocker). Vous pouvez donc retrouver cette chronique en cliquant ici, sans oublier que je vous ai mis une petite playlist Grooveshark juste ici. Moi je vous le dis, cet album est vraiment chouette. Ca serait vraiment dommage de pas lire cette chronique, oh la la oui, vraiment.

Des poutoux.
Vu en concert > 02 septembre 2012
Cette année, difficile de trouver un festival qui nous fasse complètement envie. Mais à plus y réfléchir, ce samedi de Rock En Seine avait de quoi nous satisfaire : des gros noms comme les Black Keys ou Noel Gallagher à côté de groupes plutôt appétissants comme les Eagles Of Death Metal, Maxïmo Park ou dEUS.

Une fois la visite complète des rues de Saint-Cloud pour trouver une place (on remercie la municipalité de nous offrir la gratuité tout le mois d'août) et une longue marche ponctuée de SMS rageurs à base de "Bah alors, tu vas quand même pas rater Paolo", on trouve quand même à s'offrir une pause vessie avant d'arriver pour l'ouverture de Maxïmo Park. De mon côte, c'est un peu le groupe de Newcastle qui m'a poussé à venir ; c'est clairement le concert le plus attendu de la - ma - journée.
Chroniques d'albums > 03 juin 2012
Je me souviens assez bien du jour où j'ai acheté Version 2.0. J'avais entendu quelques jours auparavant quelques titres de cet album, et alors que ma passion pour les compils d'EuroDance tendait à décroitre, c'était bien pour en acheter une nouvelle que je m'étais rendu dans l'hypermarché du coin. Pourtant, ce jour-là, et même si ça devait représenter un découvert sur l'argent de poche, il faut croire que j'avais enfin envie de plonger dans de vrais albums. Non pas que ce soit le premier, mais on n'en était pas loin.

Nous sommes alors en 1998. A la radio, les groupes rock et assimilés emmenés par des filles se sont faits de plus en plus fréquents : si Texas a déjà abordé son virage pop, le Hole de Courtney Love a son moment de gloire, K's Choice a un joli succès d'estime, The Cranberries ne sont pas encore insupportables, et j'en oublie surement. Les orientations électro du milieu des années 90's, à la manière du remix du Professional Widow de Tori Amos, ont déjà un peu déteint sur le premier album remarqué de Garbage, groupe porté par la rousse Shirley Manson, et sorti trois ans avant. Et c'est peu de dire que ces arrangements électro sont omnipresents sur Version 2.0, le deuxième album du groupe. L'ensemble des douze titres qui le compose est tendu, électrique ; les guitares sont lourdes, le son a la limite de la saturation, mais tout est sous controle.

Je me souviens aussi bien de la claque reçue à l'écoute de Temptation Waits, le premier titre de cet album, avec sa montée inarrêtable. Pas vraiment le temps de s'échauffer. C'est un peu le leitmotiv de cet album, bon nombre de titres sont basés sur une montée en puissance autour de refrains imparables et ravageurs. A ce titre, les principaux singles d'un Version 2.0 qui en accouchera de six au total, à savoir le rageur I Think I'M Paranoid et l'effrené Push It, sont des vitrines parfaites de l'explosivité de cet album. Il donne cette impression d'être pris dans une course sans fin sur des titres dynamiques comme Special, Sleep Together et dans une moindre mesure When I Grow Up, qui s'offrent le luxe de ne pas oublier de créer une vraie mélodie en route. Les haletants Hammering In My Head et Dumb, n'hésitant pas à jouer un maximum des effets, notamment sur la voix de Shirley, explorent une face plus torturée. Quant au fantastiquement rutillant Wicked Ways, il est le parfait résultat de la volonté de Garbage de faire de cet album la rencontre entre une pop classique et un son actuel.

Dans cette course éffrénée, Version 2.0 nous offre quelques haltes. La discographie de Garbage en offre de nombreuses preuves, le groupe a la main pour réussir ses titres plus posés (It's All Over But The Crying sur Bleed Like Me, Cup Of Coffee sur BeautifulGarbage, Milk sur Garbage, pour ne citer qu'eux). Ici, les lourds et lancinants refrains du fluet Medication, le faussement trip-hop The Trick is To Keep Breathing et le passionnel final You Look So Fine sont tout aussi empreints d'accents électros qu'ils sont exempts de mièvrerie, et viennent parfaitement complèter le tableau de ce Version 2.0.

A plus y réflechir, Version 2.0 est un album qui consacre toute une frange de la musique des années 90, celle qui aura raté de peu la montée en puissance du grunge, outrepassé l'EuroDance et laissé de côté la brit-pop pour mâtiner sa pop d'arrangements électroniques. Garbage en livre un parfait instantané, et le mieux dans tout ça, c'est qu'il n'a pas pris de rides.

Tracklist
1. Temptation Waits / 2. I Think I'm Paranoid / 3. When I Grow Up / 4. Medication / 5. Special / 6. Hammering In My Head / 7. Push It / 8. The Trick Is To Keep Breathing / 9. Dumb / 10. Sleep Together / 11. Wicked Ways / 12. You Look So Fine

Durée : 49:34
Label : Warner Bros. Records
Sorti le 11 mai 1998
Les Nazemixes > 09 avril 2012
Parce que ça fait longtemps, parce que j'avais commencé un Nazemix sur le thème de l'école avant de me rendre compte que je n'avais que 4 chansons pour le faire, parce que j'avais mis de côté quelques chansons à caler dans un Nazemix sans trouver aucun moyen de leur trouver un thème commun, voici un nouveau Nazemix sans aucun thème précis, avec des grands extraits et surtout, les habituels trucs qu'on connait tous sans savoir comment ils s'appelent...



Classement actuel (13 joueurs)
1. leo` [39], 2. zelnia [37], 3. Ecirtap7 [34], 4. LoKis [26], 5. SteL462 [26], 6. mmh [25], 7. Flooflan [16], 8. St K@7 [16], 9. Belgarion [14], 10. Dylando [13], 11. mr.suaudeau [13], 12. Twin Brother [8], 13. mbfcs2 [0]
Carnet de notes > 05 avril 2012
En 2010, j'avais découvert Skip The Use lors de Solidays. Une belle claque, tant la prestation scénique de ce groupe était réussie, portée par leur chanteur Mat Bastard. Leur style de musique et la voix de leur leader : il n'en a pas fallu beaucoup plus pour les estampiller Bloc Party à la Française.

Avec des groupes aussi incisifs sur scène, on a toujours un peu peur du résultat posé sur les albums studio. Alors, j'ai laissé passer le premier album puis un EP sorti l'an dernier, pour mieux me plonger dans ce second album, Can Be Late, qui reprend au passage certaines chansons déjà sorties.

Une fois acquis qu'il est difficile de canaliser toute cette énergie sur une galette (et encore, Can Be Late propose un deuxième disque de lives), le verdict est positif. On reste dans le bondissant (PIL, Antislavery) mais le groupe propose des compositions plus travaillées que de simples gachettes expéditives (Ghost, People In The Shadow, Darkness Paradise), si bien qu'on évite l'écueil des hymnes faciles et répétitifs. C'est finalement une bonne surprise, et qu'on ne compte pas sur moi pour bouder mon plaisir devant un titre comme Mirror.




On n'était pas loin pourtant

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